Mes débuts (suite)

Catégories : Rencontres BDSM
il y a 5 ans

Je l'attends dans la position du trépied comme il me l'a demandé avec un mélange d'impatience et d'appréhension.

Quelqu'un rentre mais dans cette position, la tête posée sur le sol le cul relevé et les jambes tendues bien écartées sur mon sexe épilée, je ne peux pas voir de qui il s'agit.

Sans un mot il frotte sa main sur mon sexe. Il me semble deviner qu'il s'agit bien de Monsieur mais je n'en suis pas vraiment sûr. L'effet de la situation se fait immédiatement ressentir, mon sexe s'humidifie sous la paume qui me caresse. Mon bassin commence à onduler de plaisir lorsqu'il s'arrête.

La semelle de sa chaussure écrase et piétine ma chatte, assez fort pour bien la sentir mais pas assez pour me faire vraiment mal.

C'est tout ce que je suis à présent, l'esclave de ses désirs, une femelle à ses pieds. Cette idée me transporte un peu plus dans l'allégresse.

Je commence à gémir.

Il frotte sa semelle avec un peu plus de ferveur, la fièvre remonte de mon bas-ventre jusqu'au cerveau. Je suis accroc.

Il présente son pied devant ma bouche:

  • Sale chienne ! Tu n'as pas honte de souiller ma chaussure ! Lèche!

Je suis soulagée, il s'agit bien de Monsieur.

Honteuse, je m'exécute. Ma langue nettoie la chaussure qu'il me présente. Honteuse de ma position de soumise, honteuse d'en ressentir autant d'excitation, honteuse d'en être arrivée là. Bizarrement, cette honte m'excite d'avantage. Je lèche avidement ma cyprine sur son mocassin. Et ma main reprend là où il s'est arrêté dans une masturbation en règle, mes doigts plongeant avec volupté dans mon sexe avide d'une bonne queue.

Il ne tarde pas à me reprendre:

  • Que fais-tu là ? T'ai-je donné mon autorisation?

  • Non Monsieur. Veuillez me pardonner Monsieur, j'ai trop envie!

  • Tu en as envie? Eh bien je vais te satisfaire petite salope.

Il retire son pied de ma bouche et se place à genou juste au dessus de mon visage:

  • Lèche !

Ma langue s'applique cette fois sur ces bourses. Il a l'air d'apprécier le traitement. Ce qui intensifie l'indéniable besoin d'une bonne queue au fond de mon vagin.

Soudain, des vibrations me transpercent. Mes reins s'activent seuls. Je suis en transe. En quelques secondes, j'atteins un orgasme puissant et profond.

Monsieur garde l'appareil qui porte si bien son nom "Magic" sur mes chairs tandis qu'il bascule d'avant en arrière, ma langue allant et venant de son scrotum et sa rondelle. Mais mon esprit est loin de lui, déjà en route vers un deuxième orgasme bien plus fort que le premier.

Cette fois Je ne peux m'empêcher de crier, cris étouffés par le cul de Monsieur. Je pensais en avoir terminé mais Monsieur n'est pas décidé à retirer le maudit appareil.

  • Continue à me lécher si tu ne veux pas être punie.

Je pourlèche le contour de son anus oubliant toutes mes réticences à ce sujet, déjà toute proche d'un troisième orgasme.

De son autre main Monsieur coulisse son membre tandis que j'insère maintenant ma langue à l'intérieur de son petit trou. Mes muscles sont tendues, je tremble de partout. La jouissance vient à nouveau me cueillir, je ne suis plus qu'une marionnette désarticulée sous la somptueuse et délicieuse torture de l'engin maléfique. Mon corps se cambrent à nouveau, je me tord d'un douloureux bonheur. Il semble que mon corps expire son dernier souffle, dans le précipice du Nirvana.

Monsieur se cambre, se tend et m'asperge les seins de son liquide chaud dans un râle.

Il se retire de ma bouche.

  • Pose tes jambes au sol

Il m'a semblé un instant qu'il me laisserait au repos, ne serait-ce que quelques instants. Mais il est beaucoup plus vicieux que cela.

Il attrape un god et me l'enfonce profondément dans mon con. Le god se met à onduler dans mes entrailles.

Mon corps entier se mat à nouveau en branle:

  • Je vous en supplie, Monsieur, arrêtez! Je vous en supplie!

Pour seule réponse, il récupère de sa paume le sperme qui dégouline sur ma poitrine. Il m'enfonce sa paume sur la bouche.

  • Lèche, chienne !

Je garde bouche fermée. Il saisit le god et entame un va et vient.

Un cri sort de ma glotte. Je lèche sa liqueur dans une grimace.

Il lâche le god fiché en moi, me saisit la tignasse et me plaque sa main sous mon nez:

  • Lèche jusqu'à la dernière goutte, chienne !

Il ne m'en faut pas plus pour décoller une dernière fois.

Les bras en croix, je reste inerte sur le sol un peu de sperme sur le bout du nez. Monsieur me l'essuie avec un mouchoir. Il me prend la tête sur ses genoux:

  • Tu as grimacé. Tu n'aimes pas mon sperme?

  • Je n'ai jamais vraiment apprécié le goût.

  • Et alors? Est-ce une raison pour me le montrer?

  • Je ferai un effort.

  • Avaler mon sperme doit être vécue comme une faveur. Tu dois le recevoir comme une offrande. Pour t'habituer au goût, à partir d'aujourd'hui je me branlerai chaque jour en pensant à toi. C'est un honneur que je te fais. Je recueillerai ma semence dans des fioles et te les ferai parvenir. Ainsi chaque matin et chaque soir tu devras en boire deux plaines gorgées.

Est-ce bien clair?

  • Oui Monsieur.
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